- Conservative Figures
- 17 juin 2022
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Acte de première étape
Le 21 décembre 2018, Donald J. Trump a signé le First Step Act. Cela a marqué un changement majeur dans la réforme de la justice pénale aux États-Unis. Le projet de loi First Step Act apporte une réparation au projet de loi choquant et lamentable sur la criminalité de 1994, adopté par Bill Clinton. En 1994, les 100 sénateurs, y compris le président Biden, ont voté pour la loi de 1994 sur le contrôle des crimes violents et l’application de la loi. Cela a conduit, en particulier, une vaste partie de la jeunesse afro-américaine à être condamnée à des peines très injustes pour des crimes mineurs ou non violents.
Le projet de loi sur la criminalité de 1994, comme on l'appelle communément, est révélateur du mépris de l'establishment politique envers ses citoyens. Les 100 sénateurs se sont clairement trompés avant l’administration Trump. La ténacité de Donald J. Trump sur la question de la réforme de la justice pénale a assuré l’égalité, ainsi qu’un traitement juste et équitable des victimes du projet de loi sur la criminalité de 1994. Il s’agissait d’une occasion extrêmement rare où la coopération entre les deux partis était bipartite. Parallèlement à la première loi, une disposition de la loi sur les peines équitables a été appliquée.
Donald J. Trump a eu l'honneur d'annoncer, lors du discours sur l'état de l'union de 2018, que Mathew Charles était le premier prisonnier à être libéré en vertu du First Step Act. M. Charles a été arrêté en 1996 pour trafic de drogue à l'âge de 30 ans et condamné à 35 ans de prison. Au cours de son mandat, M. Charles a réalisé plus de 30 études bibliques, a obtenu son diplôme d’assistant juridique et a eu une influence positive sur ses codétenus.
"Les Américains de tous bords politiques peuvent s'unir autour d'une législation réformant les prisons qui réduira la criminalité tout en donnant à nos concitoyens une chance de rédemption." Le président Donald J. Trump.